Un an d’écriture.
Un an de recherche de maison d’édition qui fasse confiance à un auteur inconnu.
Une relecture avec l’aide de @Plumavitae, la plateforme d’aide à l’édition.
Une deuxième relecture pour resserrer l’intrigue, à la demande de l’éditrice qui t’a donné ta chance.
Une troisième relecture -correction pour envoyer le manuscrit définitif
Ah non, en fait, une quatrième relecture parce qu’un gentil bêta-lecteur a consacré une partie de son temps à relever quelques détails supplémentaires (merci à l’œil de lynx qui a relevé que le 21 juin, ce n’est pas l’équinoxe, même si je l’avais correctement qualifié sur la ligne précédente, ou qui a vu que le nom de famille de mon héros était orthographié différemment par deux fois…).
Un calage de mise en page (et la découverte des « couillards »).
Puis un autre parce que je n’avais pas tous les éléments de la charte graphique (à ce stade, mes yeux ne sont plus en face de leurs trous !).
Et un dernier pour les ultimes lignes isolées en haut ou en bas de page (et là, tu t’inquiètes de l’état de patience de ton éditrice).
Une couverture à corriger.
Et j’ai enfin validé le tout, avec la certitude d’avoir laissé passer des erreurs…
Un QR code à modifier parce qu’il renvoyait à l’intégralité du roman, au lieu des 18 premières pages !
Une fiche libraire toute belle à imprimer pour aller démarcher des commerçants aventureux.
« Il » sera bientôt là !

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