Un an sans rien écrire de neuf. Le temps de finaliser Promesse d’une Aube, de me consacrer à d’autres importances. Mais une idée rôdait depuis quelques mois au milieu des préparatifs de publication…
Elle est le fruit de conjonctions entre des envies de voyage, des besoins de conclusion d’une période compliquée, de l’attirance que j’ai pour les romans feelgood.
Alors j’ai ressorti mes fiches personnage, ma trame de roman en trois parties, ma carte des relations et j’ai commencé à remplir les blancs. Puis j’ai exploré le net, à la recherche de femmes inspirantes (il m’en faut quatre) qui vont m’aider à visualiser mes héroïnes. J’ai commencé à explorer le domaine qui sera le paysage de mon histoire. Et j’ai continué à remplir les blancs.
Alors que je réfléchissais à la façon de débuter mon histoire - et que je callais -, il y a eu ce flash et j’ai eu mon ouverture. Grâce à elle, j’ai enfin démarré l’écriture. Sans trop savoir où je vais, juste un fil conducteur, quelques idées de péripéties et l’espoir de voir, comme pour Promesse d’une Aube, des moments s’imposer d’eux-mêmes.
Je guette la magie.
Et en attendant, j’écris, et c’est déjà magique.